Jean-Philippe, 37 ans, sauvé grâce à un défibrillateur installé l’été dernier par l’école du quartier.
Dimanche soir, M. LaRose s’est effondré – victime d’un arrêt cardiaque – 15 minutes avant la fin d’une partie de hockey entre amis.
Un coéquipier s’est empressé de lui faire un massage cardiaque. Un autre coéquipier, lui, est parti à la recherche d’un défibrillateur. Par chance, l’école à proximité a doté son établissement de défibrillateurs externes automatisés (DAE) pas plus tard que l’été dernier.
L’ambulance est arrivée quelques minutes plus tard. «Une heure après mon arrêt cardiaque, je me sentais de nouveau à 100%, raconte le père de famille. Je ne réalise pas vraiment que mes enfants auraient pu se retrouver sans père ; ma conjointe, sans mari n’eût été l’intervention rapide de mon coéquipier et de la présence du défibrillateur.»
Dans la nuit de dimanche à lundi, M. LaRose a même trouvé la force d’écrire un message sur Facebook – devenu viral – pour rappeler l’importance de suivre une formation. «Tous les lieux publics et toutes les entreprises devraient se doter d’un défibrillateur».
Pour lire la suite, c’est ici.